Je remercie Manu Nightfurry qui fut le premier à l'avoir lut et qui eu la gentillesse de m'avoir corrigé quelques trucs, merci l'ami !
Prologue
<Vous voyez cette montagne surplombée par un village avec de vieilles maisons ? Ouais, c'est vrai, il est plutôt balaise. A quinze minutes au nord de Dessous d'bras qui démange, Beurk est le plus magnifique et le plus majestueux symbole de la paix. Mais pas n'importe quelle paix, non non … D'une paix entre vikings et dragons. D'une paix magique. Mais ça ne veut pas dire que les p'tites natures ont leurs places ici ! On est des vikings, ça reste un métier à risque comme le dirait mon père !
A Beurk ça pêche, ça chasse et ça pratique des activités que d'autres îles ne pratiquent pas, et qui ne savent pas qu'on pratique ce genre de trucs. Étonnant d'ailleurs … En tout cas, ici, on adore les courses de dragons. Ouais, depuis que ça existe depuis quoi … Vingt ans ? Oui, vingt années facile.>
Notre jeune compteur tête en l'air fut coupé net dans sa phrase, perturbé par le passage brusque d'un énorme Cauchemars Monstrueux violet, ce dernier tenant fermement un mouton noir apeuré qui ne pouvait s'empêcher de bêler. Il ne fut pas le seul à passer à toute vitesse, puisqu'il était suivi par deux Gronks et un Braguettaure, tout ce petit monde se disputaient la victoire d'une course. Se souvenant de ses engagements, notre jeune viking descendis de ses nuages et reprit part à la course. Il sauta sur son Vipère et se jeta à la poursuite du cauchemar monstrueux.
<Aller mon pote, plus vite, plus vite, plus vite !>
Le buste allongé sur son dragon et le regard compétitif brisant le cauchemar monstrueux, le dragon du jeune homme augmentât sa vitesse pour filer entre ses concurrents. La bête, en finissant sa course, partit en vrille. Il arrivât sous le cauchemar monstrueux, à l'envers. D'une technique fourbe et recherchée, le dragon du jeune homme agrippât le mouton de jeu d'une poigne ferme, l'arracha aux griffes du Cauchemars, non sans laisser quelques bouts de la fourrure noire, puis fonça vers le bas, slalomant entre les piliers des ponts et des estrades, finissant son arrivée aux paniers des joueurs pour y jeter le mouton noir dans celui marqué de son nom.
Tout le monde s'était levé pour applaudir cette superbe manœuvre. Le cavalier, heureux et à humeur joviale, tourna la tête vers le poste central des estrades, n'y voyant personne, ce qui fit disparaître sa bonne humeur. Puis quelques secondes après, il oublia ce mauvais moment sentimental et s'apprête au jeu. Il se pencha à droite de son vipère en tendant son bras droit, main grande ouverte afin de taper celles des spectateurs criant la victoire du cavalier aux yeux vairons et aux cheveux blond virant au châtain.
Après avoir mérité cette popularité de vainqueur aux courses, il se dirigea vers le ciel à toute allure puis descendit en piquet pour aller à l'académie des dragons, une vieille construction toujours debout vingt cinq ans après sa création.
<Ouais mon gros, ils ont manqué un truc ces deux là … P'tet y avait tout le village pour leurs prouvés que j'ai fais ça, mais quand même… Rha … Je réfléchis trop pour rien … Mais t'as vu c'qu'on a fait ?! C'était magnifique ! Magistral !> Le jeune homme se mit à rire avec son Vipère puis reprit le retrait des peintures de course.
Plus loin, à l'extérieur du village, dans la crique dans la forêt, se trouvaient un furie nocturne et une dragonne vipère. Seuls ? Non, ils dormaient proche de leurs cavaliers : Une blonde aux yeux bleus et un châtain barbu aux yeux vert assis l'un à côté de l'autre.
Les deux tourtereaux étaient posés, face au lac. La blonde n'avait plus ses épaulières ni sa fourrure, mais il lui restait quand même des habits … Quand au châtain, il était comme par hasard torse nu. La femme… Jeune par ses traits malgré un âge mûr, adorait poser sa tête sur l'épaule gauche du chef de Beurk. Main dans la main, les deux mariés profitaient de la course de dragon pour se retrouver ensemble loin du village et de cette agitation, comme ils aimaient le faire dans leurs jeunes années …
<Tu t'souviens de cet endroit Astrid ?> Le regard du chef était perdu dans l'eau du lac, de légers coups de vents venaient bercer les vagues.
A Beurk ça pêche, ça chasse et ça pratique des activités que d'autres îles ne pratiquent pas, et qui ne savent pas qu'on pratique ce genre de trucs. Étonnant d'ailleurs … En tout cas, ici, on adore les courses de dragons. Ouais, depuis que ça existe depuis quoi … Vingt ans ? Oui, vingt années facile.>
Notre jeune compteur tête en l'air fut coupé net dans sa phrase, perturbé par le passage brusque d'un énorme Cauchemars Monstrueux violet, ce dernier tenant fermement un mouton noir apeuré qui ne pouvait s'empêcher de bêler. Il ne fut pas le seul à passer à toute vitesse, puisqu'il était suivi par deux Gronks et un Braguettaure, tout ce petit monde se disputaient la victoire d'une course. Se souvenant de ses engagements, notre jeune viking descendis de ses nuages et reprit part à la course. Il sauta sur son Vipère et se jeta à la poursuite du cauchemar monstrueux.
<Aller mon pote, plus vite, plus vite, plus vite !>
Le buste allongé sur son dragon et le regard compétitif brisant le cauchemar monstrueux, le dragon du jeune homme augmentât sa vitesse pour filer entre ses concurrents. La bête, en finissant sa course, partit en vrille. Il arrivât sous le cauchemar monstrueux, à l'envers. D'une technique fourbe et recherchée, le dragon du jeune homme agrippât le mouton de jeu d'une poigne ferme, l'arracha aux griffes du Cauchemars, non sans laisser quelques bouts de la fourrure noire, puis fonça vers le bas, slalomant entre les piliers des ponts et des estrades, finissant son arrivée aux paniers des joueurs pour y jeter le mouton noir dans celui marqué de son nom.
Tout le monde s'était levé pour applaudir cette superbe manœuvre. Le cavalier, heureux et à humeur joviale, tourna la tête vers le poste central des estrades, n'y voyant personne, ce qui fit disparaître sa bonne humeur. Puis quelques secondes après, il oublia ce mauvais moment sentimental et s'apprête au jeu. Il se pencha à droite de son vipère en tendant son bras droit, main grande ouverte afin de taper celles des spectateurs criant la victoire du cavalier aux yeux vairons et aux cheveux blond virant au châtain.
Après avoir mérité cette popularité de vainqueur aux courses, il se dirigea vers le ciel à toute allure puis descendit en piquet pour aller à l'académie des dragons, une vieille construction toujours debout vingt cinq ans après sa création.
<Ouais mon gros, ils ont manqué un truc ces deux là … P'tet y avait tout le village pour leurs prouvés que j'ai fais ça, mais quand même… Rha … Je réfléchis trop pour rien … Mais t'as vu c'qu'on a fait ?! C'était magnifique ! Magistral !> Le jeune homme se mit à rire avec son Vipère puis reprit le retrait des peintures de course.
Plus loin, à l'extérieur du village, dans la crique dans la forêt, se trouvaient un furie nocturne et une dragonne vipère. Seuls ? Non, ils dormaient proche de leurs cavaliers : Une blonde aux yeux bleus et un châtain barbu aux yeux vert assis l'un à côté de l'autre.
Les deux tourtereaux étaient posés, face au lac. La blonde n'avait plus ses épaulières ni sa fourrure, mais il lui restait quand même des habits … Quand au châtain, il était comme par hasard torse nu. La femme… Jeune par ses traits malgré un âge mûr, adorait poser sa tête sur l'épaule gauche du chef de Beurk. Main dans la main, les deux mariés profitaient de la course de dragon pour se retrouver ensemble loin du village et de cette agitation, comme ils aimaient le faire dans leurs jeunes années …
<Tu t'souviens de cet endroit Astrid ?> Le regard du chef était perdu dans l'eau du lac, de légers coups de vents venaient bercer les vagues.
<Comment puis-je l'oublier ? Ça fait peut-être vingt cinq ans, mais je n'ai pas oublié le jour où j'ai faillit me faire tuer par un furie nocturne, Ton furie nocturne, Harold.> Elle accentua sur le « ton ». Le sourire aux lèvres, la belle blonde regardait son mari, lui même ayant toujours son regard plongé dans l'eau du lac.
<As-tu des idées pour lui ?> Tournant la tête vers sa femme, la perçant de ses émeraudes dans ses globes oculaires.
<As-tu des idées pour lui ?> Tournant la tête vers sa femme, la perçant de ses émeraudes dans ses globes oculaires.
<Hmm, pas trop, non. A l'académie il se débrouille plutôt bien, au niveau des notes il n'est pas mauvais … Mais reste assez tête en l'air. Et ses bêtises, n'en parlons pas. Il est très mouvementé, comme son père.> Souriait Astrid.
<Alors ça prouve qu'il est de moi> Harold souriait lui aussi, puis approcha sa tête vers celle de sa tendre aimée afin de l'embrasser, mais fut interrompu alors que leurs lèvres étaient à deux doigts de se coller. Une explosion retentit. <En tout cas … saches que moi, j'ai quelques mots à lui dire ...>
Les deux mariés se relevèrent après les dires d'Harold. Mécontents, il se rhabillèrent puis prirent leurs envols sur leurs montures. Ils se dirigèrent vers le village de Beurk tout en se demandant ce qu'avait bien pu faire leur gosse. Se préparant au constat des différents dégâts dans le village ...
Les deux mariés se relevèrent après les dires d'Harold. Mécontents, il se rhabillèrent puis prirent leurs envols sur leurs montures. Ils se dirigèrent vers le village de Beurk tout en se demandant ce qu'avait bien pu faire leur gosse. Se préparant au constat des différents dégâts dans le village ...