Arnskar a écrit:Bah ce qui nous plonge dans l'émotion c'est le détails des personnages. Genre Harold on voit bien qu'il regrette de ne pas être comme son père (si j'ai bien compris), qu'il va tout faire pour être digne d'un chef ^^ Et ça on le ressent dans la voix et ses yeux brillant la larme (d'ailleurs le "Un chef protège les siens, on retourne sur Beurk", bah bonjour les frissons xD)
Puis tout le monde qui pleure dont Rustik, j'aime bien ce détail là car on boit Rustik pleurer mais qui tourne la tête car lui même se dit que c'est pas lui ^^
Après y a Astrid qui sourit sur les dires d'Harold et/ou sur les belles funérailles de Stoïck et qui ne pleure pas (du moins je l'ai pas remarqué) car elle sait que ça ne sert à rien
Et même les jumeaux qui, comme Guelfor, déconnent H24 et qui se mettent à pleurer, ça donne quelques sentiments à la scène. Et Varek pareil, m'enfin, je me comprend sur Varek x)
Après y a Guelfor ! Guelfor qui déconne 7/7 H24 et qui sort la phrase la plus sérieuse du film (dans ma signature), je crois que c'est cette phrase là qui m'a achevé avec la musique ^^
C'est claire ! cette phrase est tellement puissante et je la trouve digne d'une grande réplique du cinéma hollywoodien, non seulement elle est hyper sérieuse, la scène est hyper sérieuse mais surtout elle est chargé d'émotion...
Et je trouve que tu résume parfaitement bien la scène, Harold ne sait plus quoi pensé de lui et se rend compte qu'il n'est pas l'homme qu'il pensait être mais finalement il se décide à prendre son destin d'héritier totalement en main pour ne pas décevoir son père et les autres.
Pour Astrid tu as raison elle préfère sourire à Harold pour lui montrer son soutien infaillible et lui montrer qu'elle croit en lui. D'ailleurs dès le début du film elle dit à Harold qu'il va devoir tôt ou tard assumé ce rôle et je crois que ses paroles au moment des funérailles la remplit de fierté
Et puis les autres, les jumeaux et Rustik, les voir pleurer alors qu'ils se revendiquent déconneur et trop masculin pour avoir des sentiments fondent comme des madeleines et montre que la mort de Stoick est une terrible perte pour eux, c'est très touchant et j'ai bien aimé ce passage justement.